Jeanne Jennings de ClickZ a récement publié 2 articles (partie 1 et partie 2) portant sur la vente publicitaire dans les infolettes, ou newsletters.
Au-delà du potentiel que nous connaissons bien des infolettres pour générer de meilleurs relations avec nos clients, généré plus d’intérêt en nos produits etc… nous ignorons souvent le potentiel de revenu publicitaire à l’intérieur même des infolettres. Depuis 5 ans le rapport annuel d’IAB Canada indique que la publicité dans les newsletters représente environs 2% des dépenses totales en publicité sur Internet. Relativement insignifiant, mais là réside un important potentiel de croissance – si bien réalisé.
DEVENEZ REDEVABLES
La publicité en ligne offre des données quantitatives sur la performance que la majorité des médias ne peuvent égalé ou même commencer à offrir. C’est une force que nous soulignons souvent, mais sous-utilisons probablement trop souvent. Grossomodo, en marketing par courriel, le taux d’ouverture moyen est de 22.1%, le taux de clic moyen est de 6.1% (EpsilonQ1 2009 E-mail Trends and Benchmarks Report) ce qui se compare favorablement aux bannières 0.1% (DoubleClick’s 2008 Year-in-Review Benchmarks Report).
PENSEZ AUX FORMATS OFFERTS
La taille d’une pub compte pour beaucoup : plus gros = meilleur performance. Considérez des formats plus grand dans votre infobulleting – encourrager un meilleur taux de clic = meilleur première impression pour plusieurs clients. Cela augmentera aussi le potentiel en ROI.
Intégrez votre (vos) format publicitaire dans le design de votre infolettre. Pas en haut ou en bas, mais bien intégré dedans pour lui donner de l’attention par vos lecteurs. Évitez les grattes-ciels. Identifiez les pubs avec le mot « publicité » ou « commanditaire » en haut / avant pour lui attirer de l’attention. Cette tactique n’est pas bonne sur un site web normal car il dit clairement à l’usager « évite cet endroit » mais dans un infolettre, il distingue la pub du contenu plus clairement. La pub pouvant (dans une newsletter) être aussi un gros texte et pas nécessairement une bannière.
CONSEILLEZ VOS CLIENTS
Que vous soyez en agence ou un éditeur / représentant, ne vous gênez pas pour conseiller vos client envers les formats qui fonctionnent le mieux chez vous, les types de créatifs et les offres qui pognent le plus auprès de vos usagers. Citez des exemples spécifiques (avec la permission de ceux-ci) ou plus générales (par secteurs d’annonceurs ou types d’offensives).
Normalement, un message qui vise à générer des clients prospects, générer un intérêt en une action future, performe mieux qu’un offre concrète et direct. La publicité dans une newletter va aussi générer des abonnements à l’infobulletin du client plus facilement qu’une pub sur un site.
Forrester indiquait récement que la vidéo dans un courriel augmentait le taux de clic par 2 ou 3 fois et que 17% des publicitaires considéraient ajouter de la vidéo dans leurs offensives courriels bientôt. Sans nécessairement être équipé technologiquement pour cela, une capture d’écran de la vidéo en question, menant vers la vidéo sur votre site web / selui du client, fera tout aussi bien l’affaire.
ENCOURRAGEZ LES TESTS
Les listes courriels permettent facilement les testes. On peut très aisément créer 2-3 ou plus mini-listes de 500 ou 1000 abonnés pour jauger la réation à différentes version de l’offre ou du message.
Offrez un rabais ou forfait si l’annonceur utilise 2 ou plus de vos cannaux média : site web, infocourriel + autre média (radio, télé, magazine, journal…).
60-40
Une bonne vieille règle est de maintenir un minimum de 60 % de votre infocourriel en contenu éditorial, l’autre 30-40% peut être de la publicité, mais pas plus. Cela laisse toujours plus de valeur pour le lecteur, que d’encombrement.